Toutes les 15 minutes, une personne meurt de la rage quelque part dans le monde. Rien qu’en Afrique, 21 000 personnes perdent la vie chaque année des suites de cette maladie. Il n’existe pas de chiffre précis au sujet des animaux qui y succombent, mais les cas sont nombreux.
40 % des victimes connues de la rage sont des enfants de moins de 15 ans. Leurs parents ne peuvent pas payer le vaccin vital. Et sans traitement, ils sont condamnés à mort.
En principe, une personne peut être infectée par la rage au contact de la bave d’un animal contaminé (chauve-souris, animaux sauvages, chiens…), mais dans 95 % des cas, c’est à cause d’une morsure de chien. La rage constitue un très gros problème, particulièrement en Afrique, où il y a beaucoup de chiens errants.
Il n’y a qu’une poignée de cas connus dans le monde de personnes infectées par la rage et qui y ont survécu sans vaccination. Dans 99,9 % des cas, cette maladie infectieuse est mortelle. À moins que la victime ne soit vaccinée immédiatement, les symptômes se manifestent toujours. C’est pourquoi la vaccination est vitale.
Dans les pays occidentaux, la rage est presque complètement éradiquée. Mais la maladie persiste dans 150 pays au moins. Vétérinaires sans Frontières veut contribuer à réduire le nombre d’infections à zéro dans ces pays.
Faites un don
Aidez-nous à combattre la maladie. Avec dix euros, nous pouvons vacciner un chien. Vous sauverez ainsi des chiens, des enfants, mais aussi le troupeau d’éleveurs vulnérables. Vacciner 70 % des chiens suffit déjà pour éliminer complètement les cas de rage chez l’homme.
