L’élevage est souvent pointé du doigt comme contributeur au changement climatique. Pourtant, le secteur n’est pas toujours néfaste pour l’environnement et conduit même à une biodiversité. Une étude réalisée par Vétérinaires Sans Frontières démontre que l’élevage paysan dans le Sud peut justement répondre au défi climatique, par exemple, par la mobilité des pasteurs et l’utilisation du fumier contre les insectes.
Cette étude a été menée par Vétérinaire Sans Frontières dans le cadre du programme de développement éducatif européen, financé par la Commission Européenne (DEVCO), l’AFD, la Région Rhône-Alpes et la DGD.
L’étude montre que l’élevage paysan a le potentiel de s’adapter et de faire face aux changements climatiques, en particulier dans certaines régions du globe. En outre, de par ses fonctions spécifiques, les élevages paysans peuvent contribuer de manière importante à la réduction des émissions de carbones.
Étude (anglais)
Executive summary (anglais)
Synthèse (français)