Au Sud-Kivu, 300 femmes s’apprêtent à apprendre à élever des lapins avec l’appui de notre équipe. De quoi leur garantir un revenu stable et les aider à mieux nourrir leurs enfants. La technique a déjà fait ses preuves au Nord-Kivu.
Des réfugiés sur le chemin de l’entreprenariat au Burkina Faso
Depuis 2012, notre équipe au Burkina Faso soutient des réfugiés pour qu’ils puissent développer des activités en lien avec l’élevage. Ils peuvent ainsi subvenir eux-mêmes à leurs besoins, malgré le peu de ressources disponibles.
Des chèvres pour chasser la pauvreté
Au Niger, Vétérinaires Sans Frontières a offert des chèvres à un groupement de 26 femmes vulnérables. Ces chèvres ont changé beaucoup de choses dans leur vie quotidienne. Elles leur ont non seulement permis d’améliorer leurs conditions de vie matérielles, mais elles leur apportent aussi beaucoup de fierté et une reconnaissance sociale au sein de leur communauté.
Une longue vie en bonne santé pour la volaille
Vétérinaires Sans Frontières offre des formations aux éleveurs, notamment dans le domaine de l’aviculture. Les éleveurs apprennent à prévenir et réagir face aux maladies, ainsi qu’à assurer un abri et une alimentation de qualité pour leur volaille. Cela permet de maintenir les animaux en bonne santé et aux éleveurs de subvenir à leurs besoins.
Valorisation du « sida cordifolia » : d’une plante, deux coups
Le « sida cordifolia » est une espèce végétale qui envahit les espaces de pâturage dans les zones arides du Sahel.
Les animaux ne la mangent pas à l’état naturel, mais si la plante est broyée et mélangée à d’autres ingrédients, elle peut servir à leur alimentation et représente même un riche apport nutritionnel.
Au Niger, Vétérinaires sans Frontières apprend aux éleveurs la technique pour transformer et valoriser cette plante.
L’embouche ovine : un investissement sûr !
Au Niger, grâce à un prêt de Vétérinaires Sans Frontières, Ramatou Solé a lancé une activité d’embouche (engraissage d’un animal en vue de le revendre), qui lui assure un revenu.
« J’utilise régulièrement le lait des chèvres pour nourrir mes enfants »
Au Niger, Magnia Marwane a reçu quatre chèvres et un bouc via Vétérinaires Sans Frontières . « Je suis très contente d’avoir reçu ces animaux ! Mes quatre chèvres ont déjà eu un chevreau chacune. J’utilise régulièrement le lait des chèvres pour nourrir mes enfants, et il n’y a pas longtemps, j’ai vendu deux boucs pour acheter du mil et de la semoule de blé. »
Des chèvres qui changent des vies
Après un petit tour au marché à bétail de Ryarubondo, c’est à la rencontre de familles bénéficiaires de chèvres que Jean-Luc vous emmène dans son blog !
L’élevage au coeur des mille collines
Denis Collienne, étudiant de master en agronomie, section Développement International, à la Haute Ecole Charlemagne ISIa Huy est parti vivre 6 mois au Rwanda pour y réaliser mon mémoire de fin d’étude avec Vétérinaires Sans Frontières. Il y a étudié les impacts socio-économiques des bio-digesteurs construits avec l’appui de l’ONG.
Note politique : développer l’autonomie des femmes grâce à l’élevage familial
Dans son sixième Policy Brief, Vétérinaires Sans Frontières se penche sur l’élevage familial et le rôle qu’il peut jouer dans le développement de l’autonomie des femmes en milieu rural.
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