Nos ambassadrices au Niger

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En janvier 2018, nos deux nouvelles ambassadrices vétérinaires, Josette et Karlien, ont découvert les projets de Vétérinaires Sans Frontières au Niger. Au programme : échanges avec des éleveurs locaux, visite du centre de collecte de lait de Kollo, rencontres avec des vétérinaires et agents communautaires de santé animale,… et bien d’autres découvertes !  

Une journée riche en apprentissage

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Pour leur dernier jour, nos deux ambassadrices ont participé à un atelier d’échanges sur la prise en charge des maladies prioritaires au Niger. Au programme : chirurgies et conférence. Une journée riche en apprentissage pour les vétérinaires nigériens.

L’élevage au Niger : de la chèvre au troupeau

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Dès l’aube, nous nous mettons en route vers Dosso. Là-bas, nous allons à la rencontre de l’équipe du projet de Vétérinaires Sans Frontières et de son partenaire local, qui s’occupe entre autres de la distribution de chèvres dont nous avons tant entendu parler dans le cadre de l’action « J’achète une chèvre ».

Sur la route du lait

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Ce matin, nous nous éloignons de la capitale dès l’aube pour assister à la traite des vaches chez des éleveurs Peuls. En compagnie de Ganda, le chef du projet sur le lait de Vétérinaires Sans Frontières, nous nous rendons au milieu des terres poussiéreuses de la plaine où sont construits les villages des éleveurs.

Premiers contacts avec le Niger

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Nos nouvelles ambassadrices vétérinaires, Josette et Karlien, sont bien arrivées au Niger. Durant leur séjour, elles découvriront les projets de Vétérinaires Sans Frontières auprès des éleveurs locaux, afin de pouvoir soutenir les efforts de sensibilisation, de communication et de récolte de fonds de l’ONG à leur retour en Belgique. Aujourd’hui, elles ont déjà pu échanger avec l’équipe locale de Vétérinaires Sans Frontières et l’Ordre des vétérinaires du Niger. Josette nous raconte ces premiers contacts en terre inconnue.

De l’importance des téléphones portables pour les éleveurs

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À seulement 30 km de la capitale nigérienne Niamey, on s’aventure déjà en pleine brousse. À l’horizon, aucune maison, route ni voiture (seulement un troupeau de girafes qui passe gracieusement). Et pourtant, les cinq barres de réseau sur l’écran du téléphone portable sont bien visibles… le signal est même excellent.

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