La rage est une maladie très contagieuse et mortelle qui est encore très fréquente dans les régions rurales d’Afrique. Découvrez quelques chiffres marquants concernant cette maladie.
Faim dans le monde : plus on avance, plus on recule
En 2017, 821 millions de personnes souffraient de la faim selon les Nations Unies. Il s’agit d’une personne sur neuf. La faim dans le monde augmente pour la troisième année consécutive et retombe aux niveaux observés il y a dix ans. Vétérinaires Sans Frontières réagit avec la Coalition contre la faim.
Vacciner les chiens contre la rage
La rage est une des maladies les plus mortelles au monde. Sans vaccination, le virus est fatal dans 99,9 pour cent des cas. Pour les animaux, mais aussi pour l’être humain. En Afrique, la maladie fait encore de nombreuses victimes chaque année. Vétérinaires Sans Frontières veut contribuer activement à l’ambition internationale de réduire ce chiffre à zéro d’ici 2030, à travers un programme de vaccination des chiens au Mali.
La solidarité, le défi de l’humanité
Le voyage se poursuit, d’un groupe à l’autre, de poulaillers en parc à chèvres ou à bovins, en visite de ruches améliorées, ou en découvrant à l’improviste une mine de rubis, qui nous ouvre les yeux sur d’autres réalités de l’économie tanzanienne.
Être Junior dans le Sud
Le Programme Junior de l’agence belge de coopération au développement Enabel offre la possiblité à de jeunes travailleurs d’acquérir de l’expérience dans le Sud. Annelies Van Erp a travaillé pendant deux ans comme Junior en communication pour Vétérinaires Sans Frontières au Burkina Faso. Elle témoigne de son expérience.
Soins vétérinaires et santé animale dans le bush tanzanien
Ce matin, c’est en large groupe que nous partons vacciner les chèvres. Aux côtés de Kuya, le vétérinaire masaï qui travaille pour Vétérinaires Sans Frontières, après 15 ans de pratique dans la faune sauvage, se trouve un vétérinaire envoyé par l’Etat (la vaccination est aussi un acte officiel en Tanzanie !), et Johannes l’agent communautaire de santé animale qui tient une petite boutique de médicaments de première ligne à Katumbeine.
De l’école au troupeau
Parmi les partenaires de Maisha Bora, d’autres ONG sont spécialisées dans les micro-crédits, l’implantation d’écoles avec leur propre jardin potager, ou l’accès à l’eau. Ce village abrite une école, où se rendent chaque jour plusieurs dizaines d’enfants. Nous rencontrons le Directeur, qui nous fait lui aussi signer un registre, avant de nous faire visiter les classes et le jardin potager irrigué. Il est très fier de son école, et nous annonce que plus de 300 enfants y sont inscrits.
L’élevage de volaille, une affaire de femmes
Dès le matin, Thomas nous rejoint et nous emmène à la rencontre des groupes de femmes que Vétérinaires Sans Frontières encadre. En une petite heure de piste caillouteuse, nous arrivons au village. L’usage veut que nous passions saluer le « maire » avant d’entrer en contact avec les autres habitants. Nous signons un registre, en y mentionnant notre nom et l’endroit d’où nous venons. L’organisation sociale du village semble bien rodée, Peter nous décrit le rôle de chacun.
À la rencontre des Masaï
En Belgique, ce matin, les musées ouvrent leurs portes gratuitement comme chaque premier dimanche du mois. De notre côté, nous irons visiter le « Arusha National Natural History Museum » implanté dans cette ancienne Boma, à 200 mètres de l’horloge d’Arusha. Y sont exposées de nombreuses photos de la faune et de la flore que nous allons bientôt découvrir, avec une brève description en anglais et en swahili…
De Mettet à Arusha, un vétérinaire belge en Tanzanie
Kilimanjaro Airport, le soir du 31 août tombe sur Arusha, notre avion atterrit. L’air est chaud, la Tanzanie vit sa saison sèche. Lies et moi respirons à pleins poumons, en silence, nous découvrons l’Afrique. Josti nous regarde en souriant, elle devine nos émotions.