L’élevage au féminin (II): Rahinatou, agent de santé animale au Burkina

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Dans tous les pays d’Afrique où nous travaillons, nous nous battons pour offrir de meilleures chances aux femmes à travers l’élevage. En cette semaine de Journée internationale des Droits des femmes, nous vous proposons de découvrir le parcours de trois femmes qui, de près ou de loin, tirent un revenu de l’élevage. Rahinatou Saw, jeune burkinabé passionnée de santé animale, est l’une d’entre elle.

L’élevage au féminin (I): Clémence, éleveuse de volaille au Burundi

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Dans tous les pays d’Afrique où nous travaillons, nous nous battons pour offrir de meilleures chances aux femmes à travers l’élevage. En cette semaine de Journée internationale des Droits des femmes, nous vous proposons de découvrir le parcours de trois femmes qui, de près ou de loin, tirent un revenu de l’élevage. On commence avec Clémence Bizimana, éleveuse de volaille au Burundi.

Des chèvres pour chasser la pauvreté

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Au Niger, Vétérinaires Sans Frontières a offert des chèvres à un groupement de 26 femmes vulnérables. Ces chèvres ont changé beaucoup de choses dans leur vie quotidienne. Elles leur ont non seulement permis d’améliorer leurs conditions de vie matérielles, mais elles leur apportent aussi beaucoup de fierté et une reconnaissance sociale au sein de leur communauté.

« J’utilise régulièrement le lait des chèvres pour nourrir mes enfants »

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Au Niger, Magnia Marwane a reçu quatre chèvres et un bouc via Vétérinaires Sans Frontières . « Je suis très contente d’avoir reçu ces animaux ! Mes quatre chèvres ont déjà eu un chevreau chacune. J’utilise régulièrement le lait des chèvres pour nourrir mes enfants, et il n’y a pas longtemps, j’ai vendu deux boucs pour acheter du mil et de la semoule de blé. »

Femmes autonomes, villages florissants

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Elles s’appellent Lucienne, Marie, Jacqueline, Fatoumata. Elles sont sœurs, mères et filles, coépouses. Catholiques ou musulmanes, elles sont toutes assises en cercle, mélangées, à nous regarder. Selon les villages, nous échangeons entre quinze et trente poignées de main d’affilée. Ce sont elles, parmi d’autres, qui bénéficient de l’action « J’achète une chèvre ».