Le Dr Mariatou Adamou Hama est une des rares femmes à exercer le métier de vétérinaire au Niger. Elle a récemment installé son cabinet à Balleyara, à une centaine de kilomètres de la capitale.
Des chèvres pour chasser la pauvreté
Au Niger, Vétérinaires Sans Frontières a offert des chèvres à un groupement de 26 femmes vulnérables. Ces chèvres ont changé beaucoup de choses dans leur vie quotidienne. Elles leur ont non seulement permis d’améliorer leurs conditions de vie matérielles, mais elles leur apportent aussi beaucoup de fierté et une reconnaissance sociale au sein de leur communauté.
L’embouche ovine : un investissement sûr !
Au Niger, grâce à un prêt de Vétérinaires Sans Frontières, Ramatou Solé a lancé une activité d’embouche (engraissage d’un animal en vue de le revendre), qui lui assure un revenu.
« J’utilise régulièrement le lait des chèvres pour nourrir mes enfants »
Au Niger, Magnia Marwane a reçu quatre chèvres et un bouc via Vétérinaires Sans Frontières . « Je suis très contente d’avoir reçu ces animaux ! Mes quatre chèvres ont déjà eu un chevreau chacune. J’utilise régulièrement le lait des chèvres pour nourrir mes enfants, et il n’y a pas longtemps, j’ai vendu deux boucs pour acheter du mil et de la semoule de blé. »
Femmes autonomes, villages florissants
Elles s’appellent Lucienne, Marie, Jacqueline, Fatoumata. Elles sont sœurs, mères et filles, coépouses. Catholiques ou musulmanes, elles sont toutes assises en cercle, mélangées, à nous regarder. Selon les villages, nous échangeons entre quinze et trente poignées de main d’affilée. Ce sont elles, parmi d’autres, qui bénéficient de l’action « J’achète une chèvre ».
Note politique : développer l’autonomie des femmes grâce à l’élevage familial
Dans son sixième Policy Brief, Vétérinaires Sans Frontières se penche sur l’élevage familial et le rôle qu’il peut jouer dans le développement de l’autonomie des femmes en milieu rural.
Des animaux qui permettent aux femmes de faire entendre leur voix
Félicité Ouédraogo, technicienne en production et santé animale, nous explique pourquoi le projet PARPEL au nord du Burkina Faso est durable.
Conférence sur la marginalisation des femmes chez les éleveurs transhumants
Le 6 juin, nous avons organisé une session sur le rôle des femmes dans les communautés d’éleveurs transhumants lors des Journées européennes de Développement. Retrouvez le rapport et quelques photos ici.
« Grâce au crédit, mes revenus augmentent jour après jour »
Au Burkina Faso les femmes restent victimes de discrimination en matière d’accès aux moyens de production. Vétérinaires Sans Frontières s’efforce d’améliorer leurs conditions en les aidant à créer leur propre micro-entreprises.
« Intégrer les femmes dans l’élevage n’est plus une question, c’est une évidence »
En ce 8 mars 2017, nous fêtons la Journée Internationale des Femmes. À cette occasion, Vétérinaires Sans Frontières a décidé de donner la parole à des femmes fortes et courageuses. « Parce que les femmes contribuent de façon essentielle à l’économie au Burkina Faso », nous explique Fatima Boly Diallo. Présidente de notre partenaire DEWRAL, elle se bat pour la promotion socio-économique de la femme et de l’enfant en milieu rural.
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