Comme chaque année, le moment est venu de lancer notre campagne « J’achète une chèvre ». Avec cette campagne pour et par les vétérinaires, nous récoltons des fonds pour nos activités en Afrique et renforçons la solidarité entre les vétérinaires belges et leurs confrères et consoeurs africains.
« Dessine-moi une chèvre »
Cette année, grâce à notre nouvel ambassadeur Jean-Luc Arendt, Le Labyrinthe de Durbuy s’associe à Vétérinaires Sans Frontières pour l’action « Dessine-moi une chèvre ». Pour chaque dessin de chèvre apporté lors de votre visite, le Labyrinthe versera 1 € à Vétérinaires Sans Frontières au profit de « J’achète une chèvre » !
J’achète une chèvre : 816 chèvres pour des familles vulnérables
La quatrième édition de notre campagne « J’achète une chèvre » s’est terminée en janvier. Il est donc temps d’annoncer les résultats annuels ! Grâce à l’ensemble de vos dons, 816 chèvres changeront pour de bon la vie de familles africaines cette année.
« Le troupeau s’agrandira chaque année »
Chaque année, Vétérinaires Sans Frontières distribue des milliers de chèvres à des familles vulnérables en Afrique. Un véritable coup de pouce qui leur permet de sortir de la spirale négative de la pauvreté et de la faim grâce à l’élevage. Rasmata Ouédraogo nous raconte son histoire.
« Ce jour restera gravé dans ma mémoire pour toujours. »
Alice Mukamana, éleveuse au Rwanda, a reçu qautre chèvres et une formation en techniques d’élevage en 2017. Un an plus tard, elle constate les retombées positives pour sa famille. « De nouveaux horizons s’ouvrent pour nous ! »
Et si vous achetiez une chèvre ?
Cet automne, nous lançons notre campagne annuelle ‘J’achète une chèvre’. Avec cette campagne pour les vétérinaires et qui passe aussi par eux, nous récoltons des fonds pour nos activités en Afrique et nous renforçons la solidarité entre les vétérinaires belges et leurs confrères et consoeurs africains.
La solidarité, le défi de l’humanité
Le voyage se poursuit, d’un groupe à l’autre, de poulaillers en parc à chèvres ou à bovins, en visite de ruches améliorées, ou en découvrant à l’improviste une mine de rubis, qui nous ouvre les yeux sur d’autres réalités de l’économie tanzanienne.
Soins vétérinaires et santé animale dans le bush tanzanien
Ce matin, c’est en large groupe que nous partons vacciner les chèvres. Aux côtés de Kuya, le vétérinaire masaï qui travaille pour Vétérinaires Sans Frontières, après 15 ans de pratique dans la faune sauvage, se trouve un vétérinaire envoyé par l’Etat (la vaccination est aussi un acte officiel en Tanzanie !), et Johannes l’agent communautaire de santé animale qui tient une petite boutique de médicaments de première ligne à Katumbeine.
De l’école au troupeau
Parmi les partenaires de Maisha Bora, d’autres ONG sont spécialisées dans les micro-crédits, l’implantation d’écoles avec leur propre jardin potager, ou l’accès à l’eau. Ce village abrite une école, où se rendent chaque jour plusieurs dizaines d’enfants. Nous rencontrons le Directeur, qui nous fait lui aussi signer un registre, avant de nous faire visiter les classes et le jardin potager irrigué. Il est très fier de son école, et nous annonce que plus de 300 enfants y sont inscrits.
L’élevage de volaille, une affaire de femmes
Dès le matin, Thomas nous rejoint et nous emmène à la rencontre des groupes de femmes que Vétérinaires Sans Frontières encadre. En une petite heure de piste caillouteuse, nous arrivons au village. L’usage veut que nous passions saluer le « maire » avant d’entrer en contact avec les autres habitants. Nous signons un registre, en y mentionnant notre nom et l’endroit d’où nous venons. L’organisation sociale du village semble bien rodée, Peter nous décrit le rôle de chacun.